Familia Delgado. (1816 - 1842) : En 1816, Antonio Delgado, sous lieutenant espagnol réfugié, est témoin de mariage. Il habite 25 rue Couturier. Le 11 septembre 1832, Maria Lucía Delgado, 32 ans, 11 rue Dublan, Née à Valdepeñas (Ciudad Real), épouse Antoine Bonal, commis boulanger de 18 ans né à Mandailles (15). Le 22 du même mois, un lieutenant colonel réfugié de 38 ans Francisco Delgado, né à Madrid, décède au 51 allées de Tourny. En mars 1842, un autre réfugié espagnol dont on n'a pas l'âge, José Delgado, peut-être frère de Francisco, habitant 91 rue Porte-Dijeaux, est témoin de mariage. Au mois de juillet de la même année, Angela Delgado, épouse de Francisco Martinez de Velasco, habitant 8 rue du Château•Trompette, perd sa fille de 19 ans, Luisa, née à Burgos. En 1848, Ignacio Delgado, 19 rue Arnaud-Miqueu, commis négociant de 31 ans et demi, né à Maracaibo (Vénézuéla), épouse Marie Canizieux, une Bordelaise de 19 ans.
FERNANDEZ, Gregorio (1818 - 1844) : en 1818, Gregorio Francisco Fernández, veuf de 40 ans, capitaine retraité né à Vigo (Pontevedra), ayant deux enfants de Luce Rodríguez, épouse Josefa Antonia de Francisco, 28 ans, née à Villamanrique (Ciudad Real), habitant comme lui 12 petite rue de l'Intendance. Les époux ont déclaré qu'ils veulent et entendent que leurs fils Séraphin Joseph né à Niort et Louis Antoine né à Bordeaux jouissent de la qualité et des droits d'enfants légitimes. En 1827, Gregorio est témoin de mariage, puis en 1844, il marie sa fille Clémence, 18 ans et demi, née à Bordeaux, à Victor Borgoño, 25 ans, propriétaire habitant 1 rue Esprit-des-Lois, né à Santiago du Chilli, fils de l'ambassadeur du Chili en Espagne. Gregorio habite depuis 1827 rue du Jardin-Royal.
RAMOS. (1803 - 1848) : On enregistre en 1803 à l'Hôpital Saint-André, le décès de Lucía Ramos, couturière de 44 ans née à Campo de Criptana (Ciudad Real). Il faut ensuite attendre 1825 pour retrouver le nom de Ramos, Antoine, 50 ans habitant place des Capucins est témoin au mariage du domestique de León, José López. En 1839, Juan Ramos déclare le décès de Francisco Rubio, 10 ans, né à Bossost (Lérida). En 1840, Manuel Ramus (Ramos), journalier espagnol de 60 ans, époux de Marie Caberiot, décède à l'Hôpital Saint-André. En 1847, Isabel Ramos, 20 ans et demi, née à Agramunt et habitant rue du Hâ, épouse José Antonio Cots, 37 ans, négociant de Solsona (Lérida). On trouve au bas de l'acte la signature de Fernando Ramos, probablement le frère d'Isabel. L'année suivante, Antonio Ramus (Ramos), 22 ans, manoeuvre né au Val d'Aran, décède au Bouscat.
RODELLA, Josefa (1818 - 1844) : née à Villamanrique (Ciudad Real), âgée de 28 ans, elle épouse en 1818 Gregorio Fernández, 40 ans, veuf avec deux enfants, ex-capitaine né à Vigo (Pontevedra) et habitant comme elle 12 petite rue de l'Intendance. En 1844, elle marie sa fille Clémence Fernández, 18 ans et demi, au fils du ministre plénipotenciaire du Chili près la Cour d'Espagne, Víctor Borgoño, 25 ans, propriétaire né à Santiago du Chili et habitant 1 rue Esprit des Lois.
SARTE, Gabriel (1820 - 1830) : cité deux fois, il s'agit probablement du même individu malgré une erreur dans les âges. Ce portefaix né à Valdepeñas (Ciudad Real), épouse en 1820, alors âgé de 41 ans et habitant rue du Fort Lajarte, Valérie Cousseau, Bordelaise de 24 ans. Il décède en 1830, à l'âge de "60 ans" à l'Hôpital Saint-André, et est de nouveau enregistré comme portefaix né à Valdepeñas.
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